Bonjour Londres !

" Bonjour Londres ! "

Les véritables aventures d'une nounou française à Londres

Jeune journaliste au journal "Le Monde", Leona Edwards ressent le besoin de donner un nouveau sens à sa vie. Elle troque donc sa superbe petite robe noire et ses talons aiguilles contre un jean et des sandales. Au revoir Paris, bonjour Londres, le temps d'un été. Mais Leona est loin d'imaginer qu'être la nounou de trois enfants turbulents de quatorze, onze et sept ans, n'est pas de tout repos. Mais cette pensée sera très vite éloignée par la rencontre du plus grand des fils de cette famille, agé de 23 ans, croisé un jour par hasard alors qu'elle se rendait faire les courses pour la famille.

Aah Gnii __ Je sens que je vais adorer

Chérinette ! Poste moi viite un premier chap. youhou

Biisous

Introduction

Je m’appelle Leona Edwards. Non vous ne me connaissez pas, enfin pas encore du moins. Vous lisez actuellement une partie de ma vie. Une vie qui a changé quand j’ai décidé de plaquer mon boulot de journaliste au journal français « Le Monde », pour aller vivre la grande aventure à Londres, et le tout à 23 ans. Vous allez me dire, « Mais elle est complètement frapa-dingue ». Oui, sûrement, un peu. Je ne sais pas. La seule chose que je peux vous dire, c’est qu’aujourd’hui, je ne regrette rien de ce choix que j’ai pu faire, bien au contraire. Je crois même que c’est la chose la plus intelligente que j’ai décidé de faire, en seconde place derrière ma décision d’arrêter de fumer.

Blague à part.

Un beau matin, après une année de bons et loyaux service dans mon tout nouveau métier de journaliste, je décide de claquer là porte et de m’en aller vivre ailleurs, loin de toute cette vie parisienne. Pourquoi ? Parce que j’ai toujours appris à vivre dans le confort et la facilité, et je ne voulais plus que cela soit le cas.
Alors j’ai pris mes clic et mes clac et je suis partie. Direction Londres, dans une famille conseillée par ma meilleure amie, qui avait passé près de deux ans à jouer la nounou là bas.

Mon histoire ? La voilà …

01.

Il y a quelques mois, je me suis réveillée et je me suis rendue compte que ma vie ne me plaisait pas, ou du moins qu’elle ne me plaisait plus. Tout ce que je croyais vouloir semblait être faux. Tous mes rêves d’enfant, désirs, souhaits, espoirs, étaient devenus inexistants.

Alors voilà comment j’ai décidé de prendre un nouveau départ, à Londres. C’est là que je commencerais à rechercher la vie que j’espérais. Ma meilleure amie me conseilla une famille dans laquelle elle avait travailler en temps que jeune fille au pair pendant deux ans. Les Shepard, John et Lucy, et leurs trois enfant, July, quatorze ans, Julia, onze ans, et James, sept ans. J’ai accepté de m’occuper des enfants pendant les vacances d’été, pour un début.

Et me voilà donc en train de préparer mes bagages pour ces vacances-aventures. J’avais une grande valise mais j’ai tout de même due m’asseoir dessus pour pouvoir la fermer. Je ne partais que pour six semaines et j’emmenais avec moi tout mon appartement.

Arrivés à l’aéroport, j’attendais, Ipod sur les oreilles, de pouvoir monter dans l’avion, le tout en pensant à l’amour. Peut être vais-je rencontrer l’amour dans cet avion. Nous allons peut etre nous retrouver assis l’un à côté de l’autre et tomber amoureux avant le décollage. Je scrute les hommes dans les environs à la recherche de voyageurs seuls, imaginant lequel aurait, par le plus grand des hasards, le siège situé à côté du mien afin que nous puissions passer les prochaines heure absorbées dans une conversation fascinante. Mais non… Personne !! Le seul homme a peu près potable n’est pas disponible pour un vol romantique, car il tient dans ses bras une femme aussi charmante que lui, qui arbore un diamant digne du rocher de Gibraltar à son index gauche.

Alors que nous atterrissons et que la porte de l’avion s’ouvre sur un matin gris et brumeux, je me rends compte que ma vie prend un tout autre sens à partir de maintenant. Je parcours l’aéroport à la recherche de toilettes pour pouvoir me rafraîchir un peu.

Je récupère mon bagage et je grimpe péniblement dans le métro et je m’effondre dans le siège vide le plus proche. Eveil… Somnolence… Sommeil… Eveil… Somnolence… Sommeil. Je suis à nouveau réveillée en sursaut par le haut-parleur qui annonce quelque chose en anglais.

-Vauxhall, répète cette petite voix plusieurs fois dans le micro.

Et là, je comprends. C’est l’endroit où je dois m’arrêter. J’ai failli le rater ! J’attrape mes bagages et regrettant de ne pas avoir un chariot je les traîne hors du métro avant de prendre la direction des couloirs et de la sortie. Mince alors, il fait chaud !

AAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhh __ J'en pars ma faculté de langage xD
J'ADORE C'est normal
Gnii . Chérinette , ce début est trop BON . Je sens que je vais adorer .
J'te jure la pensée typique d'une nana : elle mate tous les mecs avant de monter dans l'avion , histoire de se dire lequel elle va devoir charmer histoire de ne pas se faire chier durant le voyage (a)
Hé ouais _ on l'a toutes fait xD

Oh Piinaiiize J'aime cette fic ___ Eh oui DEJA
J'en réclame encore d'ailleurs

Chérinette Powaaa
Jtaiime :

02.

Je lève la tête et je découvre tous ces panneaux lumineux au dessus de moi. C'est Londres, c'est mon point de chute, et j'y suis enfin arrivée. Dans les rues, les portes des magasins sont grandes ouvertes pour laisser entrer l'air chaud. L'activité des bars déborde sur les trottoirs où une foule souriante et estivale se délasse assise à l'ombre de grand parasols. Les clients témoignent de l'esprit festif qui règne à Londres en été. Je les regarde alors papoter, prêtant attention aux langages des corps et aux voix, saisissant le plus d'expressions possibles. J'entends des éclats de rires, je vois des visages rayonnant de beauté. Je pourrais rester là à regarder ce spectacle tout l'après midi, mais je me dépêche, chargée de mes bagages, avec l'impression que tout cela n'est qu'un rêve - un rêve agréable dont je ne voudrais me réveiller pour rien au monde.

Seulement moi et mes bagages avons du mal à avancer. Oui, le soleil tape de plus en plus dort et je suis alors rapidement trempée de sueur. Je commence à regretter le ciel gris que j'ai vu de l'avions avant l'atterrissage. Je finis par céder à la chaleur et rassemble mes cheveux qui pendent en mèches en une queue de cheval serrée, détruisant tout la mise en beauté réalisée dans les toilettes de l'aéroport. Je suis obliger de renoncer d'avoir l'air soignée pour saluer la famille qui m'accueille.

Malheureusement je ne trouve pas la direction de la demeure des Shepard. J'envisage de les appeler pour leur demander de l'aide, mais je me rappelle bien vite que je n'ai ni argent ni numéro de téléphone. Alors je continue à avancer au hasard des rues. Au moment où je pense m'être trompée de chemin, je repère la pancarte du boulevard. Je me dirige vers la droite et au bout de quelques mètres, j'arrive en face du numéro 37. J'y suis.

Je reste quelques minutes devant cette porte. C'est une entrée magnifique. A droite de la porte se trouve un interphone dissimulé avec goût, complété par un petit bouton doré, un bouton que je suis plus que pressée de pousser? Je prends une profonde inspiration, essuie la transpiration qui perle sur mon front, avance mon doigt vers le petit bouton doré et appuie dessus.

-Allo ? dit une voix par l'interphone. Malgré le hauut-parleur, la voix est douce et raffinée. A mon avis c'est celle de Lucy, la mère de famille.
-Bonjour, c'est Leona. Je suis là...avais-je du mal à articuler.

La porte bleue s'ouvre en grand sur trois des cinq Shepard : Lucy, Julia et James, le benjamin de la famille. James est sur le seuil de la porte. C'est lui qui se tient le plus près de moi.

-Bonjour toi, tu es James ?

Il ne me réponds pas. Il se contente juste de me regarder de haut en bas et me toise d'un air snob qui est plus celui d'un adulte que d'un enfant de sept ans. Il froncce les sourcils. Je pense alors qu'il va parler mais il ne sortit aucun son de sa petite bouche. Je me tourne alors vers Julia, la cadette, debout sur les marches en pierre de l'entrée. Elle se tient timidement entre sa mère et son frère avec des yeux plus gentils et plus doux que ceux de James.

-Bonjour Julia, dis-je.

Avant que la petitee ne réponde, Lucy s'avance vers moi avec un sourire tranquille et attire Julia contre elle.

-Bienvenue Leona, dit Lucy.
-Bonjour

J'ai environ deux heures de retard sur l'heure prévue de mon arrivée. Un instant, j'envisage de mentir et de critiquer les compagnies aériennes pour justifier mon retard auprès de Lucy. Cela pourrait être un alibi facile. Mais être malhonnête n'est pas la meilleure façon de débuter ce séjour de deux mois où je vais m'occuper de ses trois enfants.
Je prétexte alors m'être perdu dans l'aéroport et avoir eu quelques difficultés à acheter mon ticket pour le métro.
Les deux enfants prennent poliment mes bagages dans l'entrée pour les mettre dans ma chambre. Et je suis alors Lucy dans la cuisine en resserrant ma queue de cheval.

Pas sympas les gosses ___ On va leur apprendre les bonnes manières, non mais !
JE KEAF , Chérinette .
C'est super bien décrit & tout ; on s'y croit .
J'en raffole déjà de la suiite

C'est Géniial . Aller la rencontre avec l'aîné maintenant xD